THE malaigits

MALAIGITS-GONINS

DEBUTAM BONUM...
mercredi 17 octobre 2018 par pierremedous

Camarades, l’heure est venue pour moi de reprendre la plume pour rédiger le 74ème compte rendu de match des Malaigits sous l’ère Perreau.

Avant l’ère Perreau, qui débute en 2005 après Jésus-Christ, il n’y avait pas de comptes rendus, mais on distribuait des images stylisées représentant des actions de jeu des Malaigits, et les enfants se les échangeaient contre des billes à la sortie de l’école ! Un peu comme si maintenant les gosses se refilaient une photo d’Helmut contre un sandwich aux pruneaux ou une gravure avec Daniel qui fait semblant de plaquer contre un pin’s de la Boule Fonsorbaise. Cependant, je sais ce que beaucoup d’entre vous pensent. Je vous connais comme si je vous avais fait (ce dont le destin m’a préservé, grâce en soit rendue au tout-puissant )… Vous vous dites : « il était temps qu’il s’y remette cette grosse feigne ! » « Enfin tu retournes au boulot, fonctionnaire de merde ! » ou « ça nous manquait pas tes comptes rendus à la con ».

Quoi qu’il en soit, sachez que si j’ai aussi peu écrit durant ces deux dernières années, c’est que j’ai été victime d’une panne d’inspiration dont il a fallu trouver la cause par une longue thérapie. Pour Moutous, qui peut-être lit ces lignes s’il en a terminé avec le replay du film de boules de la 17, je précise que la panne d’inspiration ne veut pas dire que je n’arrivais plus à respirer, mais que je ne savais plus quoi écrire. Du coup j’ai consulté le Docteur Isaac HAPATHAT à Masseube, et il s’est avéré que j’avais été victime d’une sorte de « nervous breakdown » ! « Vous fréquentez trop les cons » il m’a dit le type « ça vous fait comme une overdose comme celle qu’ils ont les drogués ». Il a dit que ça expliquerait pourquoi j’arrivais plus à écrire des comptes rendus. C’est comme un trop-plein quoi.

Donc il m’a donné des cachets et une pommade et maintenant ça va mieux !

Après, je l’ai pas dit devant le docteur, mais je pense que l’absence de « Knacky » et ses pompes oranges ces derniers mois a été pour beaucoup dans ma panne d’inspiration. Sans lui, l’équipe est différente, et il y a nettement moins de choses à raconter, même si certains ne manqueront pas de me faire remarquer que de toute façon j’invente tout…

Bon ! Venons-en à cette soirée du 12 octobre, où nous étions 17 pour croiser le fer avec les GONINS de Montaudran sur le splendide terrain du National Ground Stadium de Roques.

Etaient absents et excusés nos camarades Caniche et Dundar Labadiopoulos, partis en voyage de noces à Gavarnie - le pays de la sodomie - et qui avaient aménagé un petit nid d’amour dans le Partner de Dundar en calfeutrant les parois avec des matelas de mousse, afin de ne pas souffrir des premiers froids, mais aussi pour ne pas troubler la quiétude du lieu avec le bruit de leurs ébats. Il sont rentrés dimanche, très fatigués, mais l’air émerveillé de deux chérubins comme disait la môme Piaf. C’est beau l’amour.

Egalement forfait de dernière minute, notre camarade Chinoir, qui devait venir et puis finalement non parce que [ espace à remplir avec l’excuse en bois que vous voudrez ].

Quant à Chantal et Bûchette, ils étaient présents mais blessés. Pour Chantal, c’est à cause d’une entorse à la cheville contractée en faisant un crochet intérieur à Cheslin Kolbe à l’entrainement. Pas de bol.

S’agissant de Bûchette, il a glissé au boulot et il est tombé en arrière sur le levier du tracto-pelle qui lui a perforé le fion alors que celui-ci était à peine cicatrisé depuis sa rupture avec Marco. Les docteurs ont assuré qu’il finirait par restituer le levier par les voies naturelles à condition de manger des fibres (chips, tripes, rognons…).

Signalons avant de commencer que la vraie rentrée des Malaigits eu lieu le 28 septembre à Verfeil, pour le tournoi du Cassoulet que nous disputions pour la deuxième année consécutive (à 12 sur un demi-terrain) et que nous avons fini à la 3ème place sur 7, le classement se faisant au nombre d’essai, et pas au nombre de victoires (heureusement pour nous). Une fois n’est pas coutume, et puisque c’est le début de la saison, examinons en détail la prestation de chacun, en inaugurant aussi le registre des statistiques que nous allons tenir à jour cette année afin de faire progresser l’équipe !

MOUTOUS dit « Moutous » : Joueur protée, considéré dans sa jeunesse comme un immense espoir du rugby-loisir, repositionné en 3ème ligne vendredi soir à la demande unanime des trois-quarts qui souhaitent développer cette saison un jeu alerte et créatif. Fou de joie à l’idée de pouvoir se frotter à nouveau à de gros barbus luisants de camphre, Moutous a pissé autour de la première mêlée du match. Une fois ce rituel pittoresque accompli, notre camarade a été aussi mauvais que quand il joue derrière mais comme il était plus fatigué à la fin, il a dit moins de conneries à l’apéro. Quoi que, à bien y réfléchir, non. 17 km parcourus à l’échauffement, 14 m parcourus ballon en main dont 10 pour le ramener du parking où il avait roulé. 6 plaquages dont 4 sur Marco parce qu’il aime bien le serrer.

FLO : Titulaire inamovible en 3ème ligne, notre camarade a été récemment intronisé secrétaire-adjoint du bureau des Malaigits ! A ce titre, il sera chargé, notamment, de vérifier que chaque Malaigit adopte une hygiène de vie compatible avec les performances attendues par le club. Il pourra donc par exemple venir chez vous le week-end pour vérifier si vous mangez bien 5 fruits et légumes, il tiendra à jour un carnet individuel de suivi avec des courbes de poids et de masse graisseuse. Pour ce faire, il pourra aussi s’entretenir avec vos femmes, en semaine, afin de mieux connaitre vos habitudes. Vendredi soir, Flo a encore affiché des statistiques étonnantes qui traduisent l’ampleur de son abattage : 87 plaquages dont seulement 80% de loupés, 14 m parcourus à l’échauffement, 17 km ballon en main, un short déchiré adverse ramené au vestiaire en trophée, plus un bout de chaussette coincé entre les dents.

PAULO : Pour son premier match avec les Malaigits, notre ami Paulo a été à la hauteur de l’évènement ! Très dynamique, il fut l’auteur de charges féroces, le nez au raz du gazon, dans un style qui était jusqu’alors la marque exclusive de notre « Irish » national. Identifié comme un trois-quart supplémentaire par son recruteur, Dan l’Ampoule, il m’a cependant avoué avoir une passion pour le poste de pilier, surtout quand il a su que le légendaire Marco « bifteck » était dans l’effectif. Qu’à cela ne tienne ! Et c’est avec des étoiles dans les yeux que Paulo a fait la paire avec notre spécialiste du faux-filet. Bienvenue à lui en tout cas ! Statistiques : 8 charges au raz, 2 taupes tuées.

HELMUT : Gros match de notre photographe officiel spécialiste des photos de nu artistique sur modèle majeurs de l’Europe de l’Est. Présent vendredi soir bien qu’invité à participer à la randonnée coquine des deux tourtereaux cités plus haut, et on l’en remercie. En effet, Helmut devait initialement assurer la couverture photo de leur voyage de noces mais à trois dans le Partner, avec le matériel et tout et tout, il l’a pas senti… Enorme activité sur le terrain et à l’apéro : 12 lancés en touche merdés comme d’habitude, 8 tentatives de crochets, toutes avortées, mais 1 paquet de chips et 600 g de cacahuètes déquillés. Ca équilibre.

IRISH : Dès le début du match, on a senti qu’Irish était un peu piqué par le fait que Paulo rentrait dans la meule avec le nez encore plus bas que lui ! Il était vexé le coquin. Du coup, il a voulu faire l’intéressant et il s’est dit « Tiens, je vais me faire une entorse de la cheville, ça fait longtemps que j’en ai pas eu ! ». Fauché en plein vol à la 18ème minute, Mathieu a continué encore un peu en n’utilisant que le moteur droit, puis il a pu se poser en catastrophe sans prendre feu. En revanche, lors de l’après-match, il boitait tellement qu’il a grimpé les marches des tribunes moins vite que la vieille dame de 103 ans qui viens toujours voir le club s’entrainer ! C’était pathétique. Statistiques : 1 tube d’algipan, 2 rouleaux d’élastoplast et 1 doliprane 1000.

BIFTECK : Attention ! Grande nouvelle en ce début de saison ! Qu’on se le dise : le grand Bifteck est de retour ! Et je ne veux pas dire par là qu’on va bouffer des entrecôtes de 2 m² tous les vendredis. Non, je veux dire que Marco est en grande forme et qu’il l’a prouvé sur le pré en réalisant une performance XXL ! Cet été, Marco a particulièrement travaillé son placement dans les intervalles, grâce à un travail spécifique de musculation et de gainage du bassin qui lui permet de changer brutalement de direction avant l’impact – un peu comme Wesley Fofana – et de surprendre le défenseur (et sa femme aussi, qui s’en plaint un peu). En plus, pour éprouver sa résistance, il a monté le Cagire 3 fois par jour avec un godet de pelle sur le dos (le petit, celui à 3 dents, il faut pas déconner quand même). Quand on vous dit que le travail paye ! Statistiques : 24 charges baïonnette au canon, dont une en criant, 5 défenseurs battus (dont 2 à mort).

TEUTORT : Enfin remis des blessures qui l’ont handicapé la saison dernière, Bruno est venu vendredi soir sans « Lotus » l’adorable petit épagneul breton scatophage qu’il a adopté depuis un an alors que nous participions au tournoi du cassoulet à Verfeil. L’histoire est si belle, rendant hommage à l’amitié entre un homme et un animal, que je vous la conterai un de ces jours car il ne faut pas galvauder un si joli moment de vie ! Donc, à l’image de Marco, Teutort a lui aussi préparé sa rentrée par un entrainement physique intensif, perdant de nombreux kilos après avoir arrêté le pâté en croûte et le Comté au petit déjeuner. De plus, cet été, tous les matins, il courrait plusieurs kilomètres dans les petites rues du vieux Bayonne, quartier qui l’a vu grandir et où il aime à se ressourcer ! Grâce à cette hygiène de vie retrouvée, Bruno a été égal à lui-même vendredi : tranchant, perforant, et intraitable en défense. Après le match, comme à son habitude, il a fait caca, histoire que « Lotus » le reconnaisse à son retour avant même qu’il ait franchi la porte de la maison. Une bien belle histoire d’amitié et de fidélité je vous dis. Statistiques : 15 tentatives de percée, 78 plaquages, 3 prouts, 2 ruines.

DAN L’AMPOULE : A disputé la quasi-totalité de la rencontre à la mêlée, en faisant admirer comme d’habitude sa science du placement qui le fait se positionner systématiquement loin des adversaires les plus épais et percutants. Par contre dès que le ballon est là, Daniel fond sur lui comme la maladie sur les poules, ou comme Chantal sur un Aligot ! Emporté par sa fougue (et aussi parce qu’il n’avait aucune autre solution), Daniel a même pris un faux-trou, qui s’est malheureusement refermé sur lui, l’engloutissant sous une demie-tonne de viande fraiche… « ça m’a rappelé la fois où la tranchée s’est effondrée sur moi en 1916 sur la Somme ! » a-t-il déclaré lorsqu’on a pu lui enlever la terre de la bouche. Statistiques : 1 faux-trou donc, 4 autres qu’il a laissé à Moutous qui les a pas pris non plus, 86 ballons touchés dont 92 bonifiés.

PAUL et NONO : Ils sont comme les Twix, ils vont par deux (ou comme Pic et Poc, mais je voulais pas être désagréable) ! Attendus à Bordeaux pour une soirée crêpes au Fucking Blue Boy, ils ont élégamment décalé leur départ pour finir le match avec nous, et on les en remercie ! Leur présence dans l’effectif fait considérablement baisser la moyenne d’âge et en bout de ligne leur vitesse nous est très utile ! « Les jeunes, à l’aile, ça dépanne » comme dit Bruno, qui sait de quoi il parle car lui-même est en train de subir le poids des ans, c’est pour ça qu’il commence à prendre des habitudes de vieux en adoptant des animaux de compagnie… Quoi qu’il en soit, nos deux acolytes nous ont fait du bien derrière, et Paul a même marqué le deuxième essai, tout en débordement, à la suite d’une pénalité jouée vite côté droit. Il allait tellement vite qu’on aurait dit Patrick poursuivi par « Bastareaud » à Grisolles ! Statistiques : 655 m parcourus balle en main pour les deux, flashés respectivement à 95 et 102 km/h.

TONY « SIFFREDI » : Audois d’origine italienne, Tony est une recrue de l’an dernier qui apparait donc pour la première fois dans un compte rendu. Lui aussi a failli ne pas être là vendredi car il avait un tournage X à Bugarach qui s’est fini un peu tard (si je puis m’exprimer ainsi). Peu de gens le savent mais il y a une grande tradition de film X dans l’Aude, depuis le Moyen-âge, et Tony fait partie d’une troupe amateur qui perpétue la tradition dans le cadre du festival annuel « Levrette en pays Cathare ». Comme quoi on a des types impliqués dans la vie culturelle chez les Malaigits. Sur le terrain, Tony a souvent pénétré la défense adverse, sans toutefois parvenir à aller au bout, sans doute fatigué par les efforts de l’après-midi. Beaucoup d’engagement, comme à son habitude, et une activité méritoire puisqu’il est quand même difficile de courir 60 minutes en érection à cause des produits absorbés sur le tournage et qui faisaient encore effet. Statistiques : 52 ballons touchés (en tout bien tout honneur), 3 doigts au cul subis (par des admirateurs sans doute) et un distribué (à Marco, pour respecter la tradition).

YANN de Portet : Vu qu’on ne lui a pas encore donné de surnom, on est obligé de dire qu’il est de Portet, bien que ça fasse un peu ancien régime ! En tout cas Yann a joué quasiment tout le match en 2ème ligne, lui que sa silhouette frêle de 105 kg pour 1 mètre 72 prédispose plutôt à jouer ailier ou à faire de la natation synchronisée (mais pour ça il a trop de poils il parait). Gros match en tout cas, pour une prestation aboutie, dans la droite ligne de celle d’une de ses premières apparitions l’an dernier à Léguevin lorsque 9 valeureux Malaigits sont allé défendre les couleurs du club aux marches de la Haute Garonne. Statistiques : 26 charges rageuses, 43 cm gagnés, 3 ballons touchés seulement parce que Marco lui avait dit qu’il fallait pas s’occuper de la balle quand on joue devant.

OLIVE : En voilà un autre à qui il va bien falloir trouver un surnom ! Joueur protée lui aussi (comme Moutous mais en meilleur), capable d’évoluer à l’arrière, au centre, en 9, en 10, de faire la bouffe, bref, c’est le couteau suisse des Malaigits ! En plus, il a des capacités de déplacement et d’équilibre qui ne sont pas sans rappeler celles de Cyril « Bidibulle » qu’on salue en passant : quand Olive est pris, et ben il est pas pris…il rebondit, il bascule, il tourne, et il redémarre ! Alors que d’autres, quand ils sont pris, ils tombent, dégueulent le ballon et crient « Et merde ! Chié ! Putain où il est le soutien ? ». Certains se reconnaitront. Statistiques : 654 ballons touchés, 263 mètres parcourus balle en mains, 78 roulés-boulés, 14 saltos arrière, 17 vrilles et 2 piqués.

PHILIPPE de Portet : Et on continue la liste de ceux qui n’ont pas d’état-civil Malaigit, et à qui on est obligé de donner des noms de bleds pour les identifier ! En même temps on a toujours fait ça avec les nouveaux : Jonathan du Cantal n’est devenu « Chantal » que bien plus tard. En revanche on continue à dire « Didier de Mykonos » même si c’est un ancien, et on va dire « Caniche de Gavarnie » à partir de maintenant. Pour en revenir à Philippe, toute l’équipe peut le remercier, d’avoir consenti à jouer tout le match devant alors qu’il est lui aussi un trois-quart de formation ! Dur au mal, âpre au combat, Philippe a fait preuve d’abnégation et a tenu tout le match en dépit d’une rupture des ligaments croisés du genou gauche à la 6ème minute. « C’est pas grave, ça sert à rien les ligaments, je vais mettre du scotch » a-t-il déclaré en se relevant. Bel exemple dont pourraient s’inspirer certaines chochottes de l’effectif ! Statistiques : 56 ballons touchés, 6 crochets avant la blessure, 4 après mais à cloche pied.

JO : Et pour clore la liste des nouveaux arrivants sans surnom, évoquons le cas de Jo, qui n’est pas vraiment un inconnu puisqu’il a déjà joué avec nous à plusieurs reprises. Déjà remarqué pour ses crochets et sa vitesse, Jo a même dû dépanner devant, en 2ème ligne car pour une fois (et c’est historique) on avait plus d’arrières que d’avants ! A noter un superbe plaquage sur le tank roux barbu d’en face qui nous a cassé les burnes tout le match. En plus Jo est arbitre, donc ça va nous faire du bien d’avoir dans l’effectif quelqu’un qui connait les règles. On a bien Daniel, mais lui il connait les règles de Lombez Samatan et encore c’est celles de 1922. En fait c’est pas vrai, tout le monde connait les règles mais pas les mêmes. Bon, bref, Jo tu es le bienvenu et sache qu’en principe on n’a pas de pénurie de 2ème ligne, au contraire ! Statistiques : 87 plaquages, dont un qui compte triple, 254 mètres gagnés et une citation dans le Guinness des records comme le 2ème ligne le plus léger du monde.

EL PRESIDENTE : Enfin, nous en arrivons au cas de notre Président de droit divin coopté à vie, qui a vécu vendredi soir deux évènements majeurs ! Tout d’abord il a marqué un essai (magnifique au demeurant) à la conclusion d’un mouvement collectif d’école, et sur le coup il ne s’est pas pété. Les plus anciens conviendront que c’est assez rare pour être souligné. Ensuite, Patrice a joué devant l’espace de 2minutes environ, juste assez pour qu’on puisse parler d’une sorte de dépucelage car il s’était toujours refusé à venir se mêler aux gros qui puent. Pourquoi cette réticence ? Essentiellement pour des motifs personnels car Patrice est farouchement hétérosexuel et se refuse à se frotter étroitement avec des corps mâles et débordants d’hormones dans la moiteur des rucks. Même quand les gays de l’équipe ne sont pas là (même Guillaume était sur la touche). Résultat, une mêlée disputée puis un échappage en règle aux confins de la ligne de trois-quart. Statistiques : Une formidable double flexion en mêlée, 75 mètres parcourus ballon en main, et 25 pour s’enfuir sur l’aile après la mêlée.

Voilà, j’en ai terminé avec ce premier compte rendu de la saison.

Ah, j’ai oublié de signaler qu’en plus d’avoir nommé un nouveau secrétaire-adjoint lors de l’assemblée du 21 septembre, les Malaigits ont également un nouveau trésorier, Guillaume « bûchette », dont j’ai transmis les coordonnées aux autorités compétentes, puisque c’est à présent à lui qu’elles doivent s’adresser pour traiter les nombreuses procédures judiciaires qui collent au cul du club et qui portent sur plusieurs millions d’Euros.

Bonne fin de semaine. Allez le Stade. Vive le rugby, et longue vie aux Malaigits !

Pierre


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